Skip to main content

La contestation de paternité est un sujet douloureux et pourtant très méconnu.

Dans un cabinet d’avocat à Marseille, Marc, un homme de 30 ans, a récemment pris la décision difficile de consulter Maître Flora RICHARD-FLACHAIRE.

Son objectif : contester sa paternité concernant son fils de quatre ans, Lucas.

Contestation de paternité : le parcours d’un père en quête de vérité

Marc a expliqué à Flora RICHARD-FLACHAIRE que sa relation avec la mère de l’enfant, Sophie, avait été tumultueuse. Après leur séparation, il a appris qu’elle avait eu une liaison pendant leur rupture. Cela a suscité des doutes sur sa paternité. « Je ne peux m’empêcher de me demander si je suis vraiment son père », a-t-il confié.

Flora RICHARD-FLACHAIRE a rapidement abordé la question du test ADN, une étape cruciale dans la procédure de contestation de paternité. « Si vous souhaitez contester la paternité, il faudra établir un motif légitime et demander un test ADN », a-t-elle précisé. Marc, bien que conscient de la nécessité de connaître la vérité, s’inquiète des conséquences émotionnelles que cela pourrait avoir sur Sophie et sur lui-même.

 

Procédure en contestation de paternité : en quoi cela consiste ?

La procédure de contestation de paternité suppose de saisir le Juge aux Affaires Familiales (JAF). Ce dernier examinera les éléments présentés par Marc pour déterminer s’il existe des motifs légitimes de douter de la paternité. Le JAF attendra des preuves tangibles. Il peut s’agir d’éléments de contexte sur la relation entre Marc et Sophie. Ou encore d’informations sur la période de conception de Lucas.

Une fois la demande acceptée, le JAF ordonnera un test ADN. Celui-ci devra être réalisé dans des conditions précises pour garantir son intégrité. Marc devra également se préparer à la possibilité que Sophie puisse contester cette démarche. Cela pourrait entraîner des tensions supplémentaires. Maître Flora RICHARD-FLACHAIRE a ainsi souligné l’importance de la communication et de la transparence tout au long de ce processus. Et cela, tant avec Sophie qu’avec Lucas, dans la mesure du possible.

L’avocate a également souligné que si le test révélait qu’il n’était pas le père biologique, cela pourrait affecter ses droits de garde et de visite. Cependant, elle a rassuré Marc sur le fait que cela ne remettrait pas en cause le lien affectif qu’il a établi avec Lucas. « Quelle que soit l’issue, il est essentiel de garder à l’esprit le bien-être de Lucas », a-t-elle ajouté.

L’intérêt supérieur de l’enfant : critère principal en France

Marc est donc sorti du cabinet avec un mélange de soulagement et d’inquiétude. Bien qu’il soit déterminé à découvrir la vérité, il sait que le chemin sera semé d’embûches. Pour lui, l’essentiel reste l’amour qu’il porte à Lucas et la volonté de faire ce qui est juste pour lui.

La contestation de paternité est ainsi un sujet délicat qui nécessite une approche réfléchie et un accompagnement juridique adéquat. Les avocats spécialisés en droit de la famille, comme Maître Flora RICHARD-FLACHAIRE, jouent un rôle crucial dans ce processus, aidant les pères à naviguer dans les complexités légales tout en tenant compte des enjeux émotionnels.

En fin de compte, le JAF rendra sa décision au regard de l’intérêt supérieur de l’enfant. Il s’agit en effet d’un principe fondamental du droit de la famille. Marc sait qu’il devra faire preuve de patience et de résilience, mais il est prêt à affronter cette épreuve pour obtenir la clarté qu’il recherche.

Ainsi, si vous pensez être dans une situation similaire que celle de Marc, contactez Maître Flora RICHARD-FLACHAIRE afin d’être guidé dans l’ensemble des démarches, pas après pas.

 

Contestation de paternité   | Droit de la Famille